DOSSIER N*15574 DEMANDE D'IMMIGRATION REJETEE ACCEPTEE

welc' Nom Complet AGYNESE PRIMROSE BENETT. Mais habituellement je préfère qu'on me surnomme simplement Prim comme le font mes ami(e)s et ma famille. date de naissance CINQ MARS 1990. Ce qui fait qu'actuellement j'ai enfin vingt et un ans. Née en pleine période du printemps ma mère ne cesse de me répéter que cela expliquerais mon tempérament grippaux. Pays D'origine OXFORD - ANGLETERRE. Oxford qui est une ville plutôt sympa, connue pour son université de renommée mondiale. C'est en réalité une toute petite ville. Statut CELIBATAIRE. Impossible de rester en couple quand on plaque tout pour partir s’installer à des milliers de kilomètres. Pourtant ce n’est pas cette raison qui fait de moi une célibattante, je ne m’étendrais pas plus sur le sujet à part pour dire que dorénavant j’y regarderais à deux fois avant de m’engager. Orientation Sexuelle HETEROSEXUELLE. Je n’ai aucune attirance pour le sexe féminin et j’en suis purement convaincue. Etant donné qu’un soir après quelques verres en trop j’avais eu le droit à ma petite expérience lesbienne, ce qui au final ne m’a rien apporté, ni attirance ni plaisir. Travail/etudes ETUDIANTE EN LITTERATURE. Fraichement débarquée j’entame tout juste mes études de littérature, les gens trouve que je n’ai pas l’air d’être le genre de fille toujours le nez dans un bouquin et son souvent bien surpris. Afin de subvenir à mes besoins je pense postuler pour un job de vendeuse dans l’une des librairies du centre de l’ile. arrivée sur le territoire BIENTOT UNE SEMAINE. Je viens d’arriver il y à peine cinq jours, j’apprends encore à faire mes marques. Découvrant les nouveaux paysages, visages et le calme qui y règnent. Une chose est sure finit la pluie Anglaise. classe sociale MOYENNE. J’ai la superbe chance d’avoir deux parents plus qu'aimants, qui m’envoient régulièrement un peu d’argent auquel s’ajoutera bientôt le salaire d’un job. tatouage/piercing UN TATOUAGE & UN PIERCING. Je suis détentrice d’un tatouage fleurale dans le bas du dos, de petite taille accompagné de la lettre “ P „ en noir, en l’honneur de mon prénom : “ Primrose „. Ainsi qu’un piercing au nombril. >ambitions et rêves UNE FAMILLE ET DES LIVRES. Mon plus grand rêve d’avenir serait peut-être, un jour – pas maintenant, oh non – former une famille avec un mari, un ou deux enfants, une jolie maison. Et posséder sa propre librairie ou avoir écris un bouquin. Car en réalité j’aimerais travailler dans un journal mais je ne m’en sens pas capable. troubles quelquonques UNE PETITE FRAGILITE CARDIAQUE. Hospitalisée durant quelques semaines l’année précédente – ce qui aurait pu me faire louper mon diplôme - je suis assez libre, et tranquille bien que sous surveillance médicale tout les trois mois.

little story

“ Je suis une épave, qu’on détruit peu à peu, préférant un paysage comme on en voit dans les films plutôt qu’un monde réel où même toute la volonté de l’univers ne peut pas faire grandir une petite fille. „ @ANOTHER SATURDAY

Native d’Oxford en Angleterre, j’y ai passé toute mon enfance jusqu’à ce que je fasse mes bagages et parte pour Ashling Bay, seule.

---

de: lilian.jacobs-benett@hotmail.com
à: gingeragy.jacobs-bluden@hotmail.com
objet: dear Ginger..

« Ma douce Ginger, ma sœur,
J’ai l’honneur de t’annoncer que ça y est. Après de nombreux essais .. Je suis enceinte, enfin ! Je sais qu’à cet instant tu dois surement être on ne peut plus surprise. Alors tente d’imaginer la notre, contre toute attente des diagnostiques des médecins, lorsque la gynécologue nous a annoncé l’arrivée d’une fille. Oui une petite fille, mon bébé ! Elle devrais normalement voir le jour voir le jour aux alentour du moi de Mai. Je crois que tu ne peux même pas imaginer ma joie en ce moment même.
Je t’invites donc à venir nous rejoindre à Oxford, une fois la petite née, tu nous diras ce qu’elle à de son père et ce qu’elle tient de moi.
Ton adorable soeur, Lilian. »

« C’est le dernier essai, Luke… Je n’en peux plus de tout ces espoirs en vain. » ; « Oui je te le promets. C’est le dernier, le tout dernier. » ; Mes parents m’avaient, un bon nombre de fois, répété cette tranche de leur vie à tout deux. J’avais surement dut être un des enfants les plus désiré au monde pourtant, sans qu’aucune grossesse ne se présente. Mes parents ont voulu un enfant peu de temps après leur mariage et c’est la raison pour laquelle – six ans après que leur vœux soient présentés – ils ont décidés d’enfin s’adresser à un spécialiste de la fécondité. Trois fécondations in vitro ont échouées et ma mère n’en pouvait plus. À chaque déception, elle perdait un peu plus gout en la vie. À quarante-et-un ans, elle n’avait plus aucun espoir de devenir mère. « Très bien … il faut se rendre à l’évidence si ça ne fonctionne pas, nous ferons le deuil une fois pour toute… » ; ils avaient déjà eu du mal avec le fait de ne pas pouvoir avoir un enfant naturellement.
C’est quelques semaines plus tard, qu’ils sortirent de chez le médecin, le plus beau de leurs sourires aux lèvres. Ma mère était enceinte de quelques semaines. Certes aux yeux des gens ce n’était presque rien, mais la fécondation avait fonctionné et aux yeux de mes parent c’était le plus grand pas de toute leur vie. Prenant toutes les précautions, elle n’eut aucun mal particulier à mener la grossesse. Du moins jusqu’au mois de mars. Incapable de me préserver du monde plus longtemps elle donna naissance à sa fille prématurément d’où ma faiblesse cardiaque. Et c’est ainsi que je naquis, un peu moins de sept mois plus tard. « Comment comptez-vous l’appeler ? » ; « Agynese-Primrose Benett » ; « Prim … » ils avaient choisit ses noms d’un commun accord, peu de temps après ma venue au monde. Je fut la première et unique enfant du couple.

---

« .. Prim ! Ma chérie, viens dire au revoir à maman ! » ; A cette époque de ma vie ma mère partait souvent en déplacements pour le boulot. Architecte, elle aimait beaucoup voyager et mon père ne voulait pas lui imposer de limites, si bien qu’il s’efforçait de se passer d’elle quelques jours par semaines. Du haut de mes quatre ans j’avais sursauté comme une enfant prise en pleine bêtise. Le tube de rouge à lèvre hors de prix de maman coincé dans entre les mains et des marques rouges étalées, de-ci de-là, un peu partout sur la figure. Au même instant ma jolie maman était entrée dans la chambre, son reflet dans le miroir m’en informant aussitôt, ce qu’elle pouvait être belle. Et comme toutes les petites filles j’ai longtemps rêvé de lui ressembler. Puis m’’attendant à ce qu’elle me cris dessus d’un instant à l’autre j’avais fermé les yeux en espérant que la punition ne soit pas trop désagréable et fut surprise de l’entendre rire comme une enfant, comme moi. Tandis qu’elle s’approchait de moi je lui dis « Je voulais être belle, belle comme toi maman » ; et son petit rire s’échappa, de plus belle, d’entre ses lèvres « Tu es déjà très jolie ma chérie, la plus jolie de toutes les petites filles » ; A cette époque j’aimais ma mère plus que tout au monde et aujourd’hui encore cet amour est plus présent que jamais dans mon cœur.

little story

“ Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais ... „ @EFFY, SKINS

« Agynese ! Agynese par là, fais moi la passe ! » ; Interpelée par la voix d’une des filles de ma classe, Paris Jones, je m’étais instinctivement retournée sur mon coté droit – avec toute la grâce de mes années de danse passées – afin d’envoyer la balle à ma camarade démarquée. J’avais toujours beaucoup aimé le sport, activité plus logique qu’on ne le pense qui nous faisait dépasser nos limites et bien que déconseillé par mon médecin j’imposais toujours ma participation à notre professeur. Je détestais avoir à regarder les autres jouer sous prétexte que mon cœur souffrait d’une toute petite défaillance. Pourtant, ce jour là, j’aurais mieux fait de m’abstenir d’un quelconque effort physique. Surtout lorsque celui-ci ne visait qu’a courir après un ballon. Mais une fois de plus je n’en avais fait qu’à ma tête et je n’avais pas eu à attendre bien longtemps avant de regretter mon choix.
A ce moment bien précis la douleur avait frappé, tout contre ma poitrine et tandis que j’étais en train d’appuyer mes petits points fébriles, à l’endroit exact de la douleur, je mettais retrouvée à terre en moins de temps qu’il ne fallait pour que mes camarades ne s’en aperçoivent. Le temps que Jack – le professeur de sport – accourt à mes cotés mes lèvres et mes doigts avaient déjà dus virer au bleu ce qui précédait bien souvent une accélération respiratoire. Sans que j’ai eu le temps de m’apercevoir de l’apparition de quelconques autres symptômes, j’avais sombré dans la fatigue, tandis que les voix de Jack et de certains de mes amis s’égosillaient à essayer de me maintenir éveillée. Ce n’était pas la première fois qu’un malaise me prenait de court suite à ma détermination idiote, mais jamais aucunes ne m’avait valu une si longue hospitalisation.
« Prim … ? Prim ma chérie, est-ce que tu m’entends ? » ; Mon père avait été prévenue par le docteur McCalistair et s’était immédiatement rendu à l’hôpital. Bien qu’incapable d’ouvrir les yeux ou d’esquisser le moindre geste je l’entendais. Je m’en souviens parfaitement, cette voix masculine aux intonations paternelles et apeurées. Lorsque je parvins à ouvrir les yeux, ses deux mains étaient refermées sur une des miennes, la droite, dont les doigts – encore endoloris – n’avaient pas encore parfaitement récupéré leur couleur normale. La chambre sentait l’odeur d’antiseptique mais après toutes les années de visite, consultation et d’observation à l’hôpital elle en était devenue normal presque inodore même. « Papa … » ; Je me souviens que ma voix était basse, cassée et presque inaudible mais mon père qui ne dormait pas tout à fait n’avait mit que quelques minutes à réaliser mon réveil. « Prim … Mon bébé. » ; Dans ma vie je son regard n’a jamais exprimé autant d’inquiétude que ce jours là, même après cette hospitalisation – à part peut-être quand je lui ai annoncé mon départ pour Ashling Bay –
C’est seulement au bout de quelques heures que le médecin vint nous rendre visite, devant surement penser que j’étais en sécurité en présence de mon père – ma mère, elle était en déplacement et mon père me fit promettre de ne rien lui annoncer avant son retour à la maison. Mais cette promesse était sans compter l’annonce du médecin qui, sans tourner autour du pot avec informé mon père d’une aggravation de ma défaillance cardiaque elle-même dut à mon malaise de la veille, ce qui par la suite avait entrainé une hospitalisation totale de deux mois.

Depuis un mois et demi que j’étais détenue comme en captivité dans la grande bâtisse blanche, hôpital d’Oxford, je commençais sérieusement à devenir dingue. J’avais besoin de sortir, de fumer, de m’éclater. Tout et n’importe quoi du moment que cela me permettais de prendre l’air, de mettre le pied dehors. Ce jour là pourtant j’avais été parfaitement abasourdie en entendant les cris de joie dans le couloir de mon étage, pas n’importe lesquelles. Des voix que je n’avais pas entendues depuis maintenant un peu plus d’un mois, des voix dont l’intonation me faisait chaud au cœur – façon de parler –. Peut de temps avant, je mettais retrouvée forcée de passer mon examen de bac à l’hôpital même, Monsieur McCalistair ayant refusé de se séparer de moi une journée – sous prétexte que je lui manquerais trop – à cette même période nous avions organisé mon départ futur d’Angleterre. Une fois de nouveau sur mes jambes, je voulais prendre mon envol et devenir indépendante.
« Agynese, Agynese tu as réussit ! » Je pouvais parier que cette voix était celle de Paris. Toutes deux, nous n’avions jamais été de réelles amies, bien qu’adorable nous étions trop différente, d’où le fait qu’elle m’appelle Agynese au lieu de Prim. Elle était la petite amie de Lucah, qui lui en revanche se trouvait n’être autre que mon meilleur et plus ancien ami. Je rappelle qu’en entrant dans ma chambre, une fois que Paris s’était tue il c’était contenté de me dire de sa voix rassurante « Avec mentions mademoiselle, mention ! » et avait accompagné sa phrase d’une petite courbette qui m’avait tiré un rire. Venus accompagnés de deux – trois autres amis que je connaissait bien nous avions passé la journée dans le parc de l’hôpital à fêter nos diplômes respectifs.

de: agyprimrose.benett@hotmail.com
à: gingeragy.jacobs-bluden@hotmail.com
objet: dear Blueden's family.

« Ma tante et mon oncle,
Je vous envoie ce mail car, j’ai l’honneur de vous annoncé que j’ai décroché mon diplôme de fin d’année du lycée avec mentions ! J’ai eu le droit à une belle surprise le jour de l’annonce des résultats. Je pense que mes amis me manqueront énormément après mon départ.. Je profite aussi de ce petit texte de nouvelles pour vous annoncer que ma santé va mieux, après près de deux mois en repos intensif sous ordre des médecins. L’inquiétude de mes parents est également redescendue et tout devrait rentrer dans l’ordre.
Je vous transmettrais mon nouveau numéro de téléphone fixe une fois sur place, en attendant vous pourrez toujours me joindre à cette adresse mail, ainsi que sur mon mobile. Je vous embrasse tous deux, bien fort.
Votre charmante nièce, Prim. »

Fiche sur la voie de l'officialisation!
Chère mademoiselle BENNET quel groupe souhaitez vous rejoindre? _

.

WELCOME ! J'ai noté une petite gourde dans ta fiche o_o. Tu dis avoir vingt et un ans et être née en 1985...Or on est en 2011 très chère xD Donc normalement tu devrais être née en 1990 ô.ô si t'as 21 ans. :O. ♥ (pour une fois que je sers à quelque chose >>.)

De rien belle demoiselle

. AGYNESE-PRIMROSE BENETT . date d'arrivee sur l'ile : 25.01.2011 nombre de point : 20 ♀ _ ne le 05.03.1990 _ brune _ 168 cm originaire d'Angleterre ..