DOSSIER N*15574 DEMANDE D'IMMIGRATION REJETEE ACCEPTEE

welc' Nom Complet LYSANDRE GARANCE DELACOURT date de naissance 24 SEPTEMBRE 1985 Pays D'origine PARIS, FRANCE Statut CÉLIBATAIRE Orientation Sexuelle HÉTÉROSEXUELLE Travail/etudes AVOCATE arrivée sur le territoire IL Y A TROIS MOIS classe sociale AISÉE tatouage/piercing TATOUÉE SUR LE POIGNET DROIT AINSI QUE SUR L'OMOPLATE GAUCHE >ambitions et rêves REDEVENIR L'AVOCATE PRESTIGE troubles quelquonques AUCUN

little story

« Elle est magnifique, n’est-ce pas Alexis ? » demanda ma mère en s’adressant à l’homme qui se tenait près d’elle, sourire aux lèvres. Cet homme était mon père, mon héros celui que j’adorais le plus au monde. Alexis était avocat, il semblait être un homme froid lors des premières impressions seulement au fond, il était adorable comme tout. Cet homme qui était avocat était une personne présente dans ma vie durant mon enfance pour une personne qui occupait un boulot assez exigeant dans sa vie. J’admirais mon père pour sa détermination et pour ce qu’il accomplissait dans son boulot. Défendre une personne qui méritait une chance parce que tout le monde mérite une seconde chance dans la vie. D'ailleurs, vous ne trouvez pas qu'Alexis fait un peu prénom d'adolescent ? Et bien, c'est que personne autre que ma mère appelle mon père Alexis sinon tout les autres c'est M.Delcourt tout simplement. Étant donné que mon père est un homme qui aime se faire respecter et qui donne son respect à ceux qui le respecte. Mon père s'approche de ma mère. - « Elle est magnifique, comme toi. » dit-il en embrassant le front de ma mère et de lui sourire. - « Je t'aime Maddison. » Maddison Leclerc est ma mère, cette femme respectable qui est toujours présente pour les gens autour d'elle. Ma mère c'est comme un peu la bonne femme de famille. Toujours présente pour tout le monde elle déteste faire du mal aux autres. C'est beau hein la famille ? Vous pensez que je suis issue d'une famille parfaite ? Eh bien, vous n'avez pas tort parce que ma famille est parfaite, je suis parfaite. Oui, vous l'aurez remarqués je viens de milieu aisée et aristocrate. C'est bien, hein ? T'es jaloux, j'en doute pas une seconde.

Je sonne. J'attends une réponse de quelqu'un, je déteste entrer chez les gens sans sonner même chez ma propre maison seulement cette fois-ci c'est une surprise que jef ais à ma mère que je n'ai pas vue depuis deux ans environ ayant déménagée à New-York après avoir été embauchée dans un cabinet d'avocat endroit où je suis douée. J'entends des pas légers se rapprocher de la porte, elle dépose sa main sur la poignée et la tourne avant de tirer dessus et me regarder en souriant et en laissant une larme couler. Je l'aime ma mère, elle est toujours splendide et très émotive. J'ai vingt-quatre ans et j'ai tout pour être heureuse. J'ai un amoureux que j'adore, un métier que j'aime énormément ainsi qu'une famille qui m'adorent pour toujours. Quoi rêver de mieux ? - « Salut maman. » dis-je en français puisqu'elle ne parle absolument aucuns mots anglais ma mère. C'est une française, point barre. - « Bonjour ma fille » dit-elle en souriant et en me prenant dans ces bras. Elle sent bon, elle sent la pêche. Enfant, j'adorais ce parfum et encore aujourd'hui je l'adore. Il me manque ce parfum de ne plus le sentir chaques jours. - « Papa est là ? » demandais-je à ma mère alors qu'elle me laissait entrer dans la maison. - « Oui, dans son bureau. » me dit-elle uniquement en m'embrassant sur les deux joues et de retourner à ces fourneaux. Mon père est -presque- toujours dans son bureau à faire son métier. Quarante-cinq ans, il a. Je cogne à sa porte, n'attends pas de réponse de sa part et ouvre la porte en souriant. Assis dans son fauteuil de cuir brun, ces lunettes au bout du nez il lit un rapport. Avocat un jour, avocat toujours. Il lève un regard vers moi, je redescend pour le relever quelques secondes plus tard. Il sourit, me sourit. - « Ma fille, viens par ici. » dit-il en enlevant ces lunettes et en se levant pour me prendre dans ces bras. Je vais dans ces bras pendant deux petites minutes avant de le regarder et de lui sourire. Il reprend place dans son fauteuil alors que je m'assis dans celui en face de son bureau. - « Alors, New-York ? » demande-t-il en souriant légèrement. - « J'adore réellement. J'aime l'endroit où je travaille, je suis une avocate prestige, la meilleure papa. » Il sourit deux fois plus. - « Comme ton vieux père. » Il n'a pas tort, c'est grâce à lui que j'ai voulue devenir avocate, marchant dans ces pas.

JOURNAL DE BORD; deux jours avant le départ de Lysandre. Peut-être qu'ils ont raison, peut-être suis-je une mauvaise avocate. Suis-je mauvaise ? Non, aucunement, je suis sans doute la meilleure des avocates du monde seulement mon dernier procès était misère et je l'ai perdue. Pourquoi ? Je n'ai absolument aucune raison du pourquoi mon client est reparti dans son pays natal pour se faire tirer dessus. Il est mort de ma faute. On m'en veut, je le sais. Plus personnes ne me parlent, mon fiancé est parti et mes amis me tournen le dos. Je dois partir de New-York.

Lysandre G. Delcourt a écrit:

Swëna ϟ Toi, tu viens de m'achever entièrement. AMBEEER bordel, tu me gardes un lien.

. LYSANDRE G. DELCOURT . date d'arrivee sur l'ile : 30.10.2010 nombre de point : 20 ♀ _ ne le 24.09.85 _ brune _ 160 cm originaire de France ..